Maison incluse dans une suite de bâtiments résidentiels, construits à l’unité, selon un plan individuel, et dont les façades varient; elle est séparée de ses voisines par des murs coupe-feu.
Maison mitoyenne.
Maison incluse dans une suite de bâtiments résidentiels, construits à l’unité, selon un plan individuel, et dont les façades varient; elle est séparée de ses voisines par des murs coupe-feu.
Maison mitoyenne.
Ensemble de plus de deux maisons jumelées, de conception architecturale généralement analogue, dont un mur latéral mitoyen les sépare les unes des autres. Ce type de maisons fait généralement partie d’une copropriété horizontale.
Maison individuelle attenante à une autre maison, le plus souvent par un mur mitoyen, et qui présente une uniformité de style architectural avec celle-ci. Les maisons jumelées, quand elles ne sont pas jointes par un mur mitoyen, le sont par un garage ou par un quelconque élément architectural, tel un passage couvert, par exemple.
Bâtiment d'habitation, ou partie d'un ensemble de bâtiments, qui comprend un toit, des murs extérieurs, et qui est destiné à loger une ou plusieurs personnes.
Construction qui délimite le foyer d'une cheminée et fait saillie dans la pièce. Il se compose de deux piédroits qui supportent un linteau ou un arc.
La marquise est un élément en porte-à-faux qui protège l’entrée d’un bâtiment.
Auvent placé au-dessus d'une porte d'entrée ou d'un perron, souvent vitré pour protéger de la pluie.
Élément décoratif de forme verticale. Le mât est souvent planté à l’endroit le plus élevé de la façade d’un bâtiment, comme la terrasse faîtière d’un toit, le point le plus élevé de la corniche à profil ou la pointe d’une tourelle.
Chacun des montants fixes qui divisent une fenêtre, éventuellement coupés par un ou plusieurs croisillons horizontaux.
Petite console en double volute, placée sous le larmier de la corniche.
Motif de décoration.
Élément de corniche classique.
Ornement linéaire en saillie ou en creux, destiné à souligner un élément dans un ensemble architectural, un meuble, etc.
Se dit d'un revêtement d'étanchéité de terrasse constitué de plusieurs feuilles étanches collées entre elles.
Mur qui n'est percé d'aucune porte ou fenêtre.
Orbe.
Mur plein.
Le mur coupe-feu est un mur pignon construit en matériau incombustible, généralement en pierre ou en brique, afin de prévenir la propagation des incendies dans les édifices contigus ou rapprochés. Lorsqu’un mur coupe-feu dépasse les rampants du toit, on le dit « à pignon découvert ».
Élévation parallèle au versant d’un toit. Dans l’architecture résidentielle, la façade principale est généralement
aménagée sur un mur gouttereau. Ce dernier s’oppose au mur pignon.
Mur à hauteur d'appui destiné à servir de garde-fou ou d'élément décoratif en bordure d'une toiture, le plus souvent en façade avant.